Je vous la montre, la voilà :
A noter que les fenêtres arrières du n°6 avait donc vue sur la rue Neuve Popincourt ; maintenant elles ont la vue rétrécie du mur du nouveau N° 8, qui leur font face.
je reviens des archives de la ville de Paris et je suis émue au regard de ces documents moissonnés.
A mon arrivée dans le quartier à l'année 1975, c'était ces entrepôts d'un étage.
Et sutout l'un d'eux était en retrait.
J'ai le souvenir du portail grand ouvert, un homme habillé en ouvrier, bien campé dehors face à la rue, empoignant invariablement son sandwisch à 10h du matin par tout les temps.
Il devait commencer tôt, comme les gens de la terre qui casse la croûte en milieu de matinée.
Dans le mouvement de ma jeunesse, il se peut que, jamais, je ne lui ai dit bonjour.
Dans mon souvenir il y avait de la verdure derrière le portail, comme une maison de province, volage mémoire.
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